[FLASH] It doesn't matter how fast you run, the pain will always run faster.
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Sujet: [FLASH] It doesn't matter how fast you run, the pain will always run faster. Dim 30 Oct - 19:24
It doesn't matter how fast you run, the pain will always run faster.
You know, I really need you right now. It's not fair to hide in my dreams and not be here when I need you the most.
Quinn & Clay
J’avais pas encore entendu le réveil sonné que mes yeux s’ouvrièrent avec la lueur des rayons du soleil à travers la fenêtre. Je dormais paisiblement à côté de ma belle petite amie que j’aimais comme un dingue. Lorsque que je me tournai sur le côté pour être face à elle, je fis un sourire complètement absorbée par sa beauté matinale. Je lui donnai un mince baiser sur le front pour éviter de la réveillé et je me levai afin de commencer le petit déjeuner. En entrant dans la cuisine, je sortis ce qu’il me fallait du frigo pour ma préparation de burritos. Je l’avais séduite comme ça et depuis, je lui concoctais simplement ce petit déjeuner pour me rappeler à quel point j’étais chanceux d’avoir croisé son chemin. Pendant que le tout cuisait, je fis un jus d’orange maison avec un demi pamplemousse pour accompagner le tout. Je fis une belle présentation dans notre assiette avec quelques fruits. Ensuite, je mis la table devant l’immense fenêtre qui donnait vue sur la plage. Je servis ensuite le tout.
Je savais qu’elle n’allait pas tarder à se réveiller, car habituellement, l’odeur avait raison sur tout le reste et rare étaient les fois qu’elle résistait au déjeuner spécial Clay. Cependant, je savais bien que je ne faisais pas le petit déjeuner seulement pour le plaisir. Je devais lui annoncer quelque chose. Je ne croyais pas que c’était quelque chose de bien grave, mais je savais qu’elle serait déçu encore une fois. Je ne savais pas trop comment aborder les choses et je me disais qu’au moins avec un bon déjeuner, je pouvais peut-être prévenir les coups. De toute évidence, Quinn m’aimait et moi plus que tout et tout ce que je souhaite c’est de la rendre heureuse. Enfin. Comme à l’habitude, je versai nos verres de jus d’orange et installa l’assiette de pamplemousse au centre de la table et nos burritos à notre place. Elle se levai et lorsque je croisai son regard, j’eus un immense sourire : « Bon matin à la plus belle femme de Tree Hill! » Je tirai la chaise pour qu’elle s’y assoit et lui donnai un tendre baiser. « Bien dormi? » Après sa réponse, je lui laissai un peu le temps de prendre quelques bouchées en faisant de même également.
Je ne voulais pas trop faire de vagues, je ne voulais pas qu’elle se fâche, mais je devais lui dire. Les James peuvent parfois faire éperdumment peur. Je me grattai l’arrière de la tête en regardant mon assiette sur le point de se terminer. « Tu sais l’offre en Europe que l’on m’a donné il y a quelques jours. Je t’avais parlé du joueur qui jouait dans le font d’une ruelle et qui est vraiment surdoué… » Je pris une gorgée de jus d’orange et avala un morceau de mon pamplemousse. « Écoute, je vais dire oui… deux semaines ou trois maximum je suis de retour et je ferme le portable pour deux mois c’est promis! » Je n’allais pas m’en tirer comme ça… et d’ailleurs, avec ce qui s’était passé pour Nathan lorsqu’il y avait été, c’était normal que ma copine soit inquiète, mais je tentais de la rassurer du mieux je pouvais. « Je te promets de te donner des nouvelles tous les jours, de revenir aussitôt que je peux. Tu connais le métier depuis que tu es avec moi… ce n’est pas seulement avec de bons joueurs qu’on batit la meilleure équipe, mon rôle c’est de faire remarquer ceux qui n’ont aucun espoir devant eux… Je veux qu’ils croient qu’ils ont autant de chance que ceux qui ont toujours pratiquer leur sport devant tout le monde. Je veux faire la différence et je sais tu comprends parce que tu es la meilleure des petites amies et que je t’aime! » Je lui pris la main entre les miennes pour l’amener à ma bouche et l’embrassa sur chacun des doigts. Elle pouvait voir l’air de chien battu que je lui témoignais. Le boulot c’était le boulot, je ne pouvais rien y changer…